Tuesday, March 10, 2009

19- Solomon, Mona Lisa et la Sainte Trinité

Nous voici désormais au dernier chapitre de mon blog qui portera sur le nom codé de Mona Lisa. On découvrera une toute autre réalité cryptée et allégorique digne du génie de Léonard de Vinci. Ce dernier chapitre révélera ainsi d'importantes informations qui iront dans le sens de mes précédentes interprétations sur la sainte trinité égyptienne dissimulée dans le portrait de Mona Lisa et mettra ainsi fin à ce blog.

Sans tarder, écrivons tout d'abord, à l'exemple de l'écriture hébraïque, les lettres consonantiques de MONA LISA. Nous obtenons le mot MNLS selon la figure suivante :


Puis, il s'avère que le terme MNLS est l'exact anagramme de SLMN qui figurez-vous est le nom consonantique hébraïque du roi SALOMON ou encore en anglais SOLOMON !

Pourquoi donc SALOMON/SOLOMON ? Est-ce un hasard ?

Ce même fabuleux hasard qui voudrait que l'on ait retrouvé le symbole même de ce roi : c'est-à-dire le sceau de Salomon, l'étoile à 6 branches, que je vous invite à (re)découvrir dans mes 18 chapitres précédents dont il est préférable de suivre l'ordre des chapitres pour une meilleure compréhensions et ainsi découvrir les nombreux messages devinciens préservés depuis plus de 500 ans sous notre barbe..

Les lettres consonantiques SLMN de Salomon et son sceau sont notre premier indice qui nous amène à continuer l'aventure avec ce bon roi mystique des initiés et des illusions.

Le nom de Salomon ou encore en anglais SOLOMON a une origine très énigmatique et diverses théories s'abandonnent et se perdent dans l'immensité de l'univers ésotériques...Cependant il existe une théorie très intéressante qui, à ma plus grande surprise, rejoint parfaitement toutes mes études sur Mona Lisa. En effet, cette théorie que l'on retrouve sur plusieurs sites web anglais liste un nombre de faits surprenants, en s'inspirant de la kabbale, de la gématrie, de l'astronomie pour révéler la vraie origine éthymologique du nom Solomon.

En effet, il est extrêmement remarquable de s'apercevoir que le nomSOLOMON peut être décomposé en 3 différents racines linguistiques SOL-OM-ON :
  • SOL = racine latine du SOLEIL
  • OM = racine sanscrit du SOLEIL
  • ON = racine ancienne égyptienne du SOLEIL
Solomon regroupe ainsi 3 mots anciens du SOLEIL dans 3 différents langages !

A ce sujet le mythe de Jésus-Christ est également dédié au soleil. En effet sa date de naissance et sa vie en général s'est inspirée du mouvement du soleil sur Terre et dans la voûte étoilée céleste.

Du point de vue gématrique (une lettre = un nombre et réciproquement), les lettres consonantiques SLMN de SALOMON correspondent respectivement dans la kabbale hébraïque aux lettres Samekh, Lamed, Mem, Nun de valeurs gématriques :

  • Samekh = 60
  • Lamed = 30
  • Mem = 40
  • Nun= 50
A ce sujet on retrouve miraculeusement les 4 merveilleux chiffres successifs 3 ,4, 5, 6 que je vous laisse le soin de découvrir ou redécouvrir au chapitre 3 porté sur la Sainte Trinité !

Ceci-dit, on obtient une numération totale pour SLMN de 180 = 60+30+40+50. 180 étant dans notre cas 180 degrès car c'est l'angle total nécessaire au soleil pour se lever (la vie) à l'Est et se coucher (la mort) à l'Ouest : autrement dit 180 est le symbole solaire du passage en arc de la vie à la mort et par conséquent à la résurrection.

Si on utilise cette fois-ci ma Table de la Renaissance alpha-oméga ci-dessous (voir chapitre 3 pour de plus amples informations) la numération de SLMN est égale cette fois ci à 18 qui est le nombre de la vie en hébreu; ce même nombre que l'on retrouve étonnement dans la numération hébraïque de SLMN= 180 !

S+L+M+N = 9+ 2+3+4= 18

Le fait que 18 = 6 + 6+ 6 et que 180 = 60 + 60 +60 montre que le 666 est intimement lié à ces quatres lettres consonantiques de MONA LISA et par conséquent de SOLOMON! Le nombre parfait 6 vous l'aurez compris, est celui du Soleil et par conséquent une fois triplé est dédié trois fois au Soleil donc par définition SOLOMON :
  • SOL = SOLEIL = 6
  • OM = SOLEIL = 6
  • ON = SOLEIL = 6
J'ai été agréablement surpris d'apprendre l'existence d'une grande loge franc-maçonnique du nom de SOLOMON qui rejoint d'ailleur mes interprétations sur le culte solaire de nos religions !

Sans renter dans les détails complexes devinciens, retenez tout simplement que :
  • SOL= le lever du soleil, son renouveau qui apparaît à l'EST
  • OM = le soleil au zénith, le plus haut point à l'horizon qui apparaît au SUD
  • ON = le coucher du soleil qui apparaît à l'OUEST
On voit ici une belle correspondance à la vie humaine partagée par la naissance, la maturité, la mort.

Pour notre chèr arbre de Vie ou arbre des Séphiroths, que je vous invite à découvrir ses secrets dans mon livre, sa structure est divisé en 3 piliers avec 11 séphirahs dont celle situé au centre, au nom de Tiphéret, symbolise le soleil et porte le nombre parfait 6 !

Vous l'aurez compris il existe bien d'autres exemples qui vont dans le sens de mes interprétations et vous l'aurez également compris que tout est lié par une matrice digne du génie devincien que résumé admirablement la Table des Emeraudes (le Joyau et l'AXIOM, voir chapitre 13):

Paroles des arcanes d’Hermès - Il est vrai, sans mensonge, certain, et très véritable que ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut comme ce qui est en bas : pour l’accomplissement des merveilles de la chose unique. Et de même que toutes choses se sont faites d’un seul, par la médiation d’un seul, ainsi toutes choses sont nées de cette même unique chose, par adaptation. Le Soleil est son père, la Lune est sa mère ; le Vent l’a porté dans son ventre et la Terre est sa nourrice. C’est le père de l’universel télesme du monde entier. Sa puissance est entière quand elle est métamorphosée en terre. Tu sépareras la terre du feu, le subtil de l’épais, avec délicatesse et une extrême prudence. Il monte de la terre au ciel, et derechef il descend en terre, et reçoit la force des choses d’en haut et d’en bas. Ainsi tu auras la gloire de l’univers entier, par là toute obscurité s’enfuira de toi. Là réside la force forte de toute force qui vaincra toute chose subtile, et pénétrera toute chose solide. Ainsi le monde a été créé. De là proviendront des adaptations merveilleuses dont le mode est ici. C’est pourquoi je fus appelé Hermès Trismégiste, possédant les trois parties de la philosophie de l’univers entier. Ce que j’ai dit est complet sur l'opération du Soleil." (Table d'Emeraude d'Hermès Trismégiste).

OSIRIS (le père, SOL), HORUS (le fils, OM), et ISIS (la mère, ON).

Merci à tous

Fin de ce blog.

Sunday, January 11, 2009

18- Mona Lisa et son enfant caché



Une recherche m'a permis de trouver un remarquable site internet (lien) qui montre un lien fascinant entre les oeuvres de Léonard de Vinci (1452-1519) et de son contemporain le peintre Hans Holbein le Jeune (1497/8-1543). En effet l'auteur de ce site montrent très clairement à travers différentes recherches que le modèle qui a posé pour Léonard de Vinci pour la peinture de Mona Lisa serait l'intriguante MAGDALENA OFFENBURG et non pas Mona Lisa Gherardini, la troisième femme du riche commerçant, Francesco del Giocondo !



J'étais supéfait de voir dans ce site la première version du portrait de Magdalena Offenburg (1526) que voici :





Stupéfait de voir que l'enfant de Magdalena Offenburg tient entre ces mains des branches qui, si le lien est réel avec Mona Lisa, me rappela soudainement la branche, cette branche, oui celle du dessin de Mona Lisa attribué à Léonard de Vinci et intitulé "Study of Mona Lisa" résidant au sein du musée de la collection Hyde que voici :



Si vous projetez maintenant ces deux peintures en coïncidant l'orientation de ces branches vous obtenez cette figure suivante :





Vous verrez ainsi que Mona Lisa (enceinte ou qui a accouché : voir chapitre 2) tient dans ces bras cette fois-ci, et dans des proportions étonnantes, un enfant caché et bien réel, qui épouse parfaitement la forme des bras de Mona Lisa, cet enfant qui semble être allaité par le sein gauche de Mona Lisa, tel Isis allaitant Horus, serait par allégorie celui peut-être découvert dans mon étude, Horus-Harpocrate !



Une découverte unique et exceptionelle qui vérifie bien ce lien ésotérique exceptionel entre Mona Lisa et Magdalena Offenburg !




Isis allaitant Horus



Alessandro di Mariano di Vanni Filipepi, dit Sandro Botticelli (1445-1510), contemporain de Léonard de Vinci a également rendu hommage à l'Egypte antique, précisémment dans son oeuvre intitulé Pallas et le Centaure peint en 1482 :





Cette scène semble être d’une façon inattendue et incroyable la copie stylisée et renaissante d’une scène hiéroglyphique murale égyptienne de la 18ème dynastie égyptienne retraçant le combat victorieux du pharaon Ramses III contre les rois des tribus orientales du désert libyque et du désert occidental situées à l’ouest du Nil, qu’on nommait selon ces inscriptions hiéroglyphiques égyptiennes les Meshwesh, que maints auteurs antiques désignaient par le mot ancien de Maxyes (Hérodotes) et Mazyes (Hécatée)... (extrait du désert des Hespérides)



Combat pharaonique contre les tribus libyennes



Un art nouveau s’était développé sous le Nouveau-Empire de Ramses III ; un style particulier en relief qui met en valeur et d’une façon disproportionné les pharaons conquérant et victorieux de leurs ennemis jurés tels les Libyens, les Gétules..



Cette seconde exceptionnelle découverte montre que la posture du Centaure est à des détails prés exactement celle du «libyen» vaincu par le pharaon Ramses III qui revêt dans le tableau l’apparence de Pallas et prouve très clairement que Boticelli ainsi que De Vinci, Holbein le Jeune, et d'autres que je cite dans mon livre -et pour ne citer qu'eux- firent ainsi leur voyage en Egypte, en Libye. Ils apprirent presque tout ce que leur époque connaissait ; ils feuilletèrent les livres anciens, cueillirent les pommes d’or du désert des Hespérides naquit leur vénérable religion isiaque, source de toutes les autres fois, de toutes les autres sagesses, qui avait laissé PARTOUT SON EMPREINTE. La Rose-Croix, la Franc-maçonnerie (dont les symboles sont ingénieusement dissimulés dans le portrait de Mona Lisa), les sociétés occultes européennes, vivaient et survivent encore de cette religion universelle...







En effet, la Chronologie nous apprend quaprès la prise de Constantinople en 1453 par les turcs, la belle Florence renaissante fût la terre d’accueil de nombreux lettrés d'Orient, comme le néoplatonicien Gémiste Pléton: la culture grecque et les œuvres de Platon encore méconnue à cette époque pénétrèrent rapidement en Italie. L'Académie platonicienne de Florence fût dés lors crée sous l’initiative de Cosme de Médicis qui demanda sans plus tarder à Marsile Ficin (1433-1499) de traduire Platon, Plotin, Proclus, Jamblique, Denys l'Aréopagite et bien d'autres.



Les traductions vont à bon train, jusquau jours mystérieusement, en 1460, un moine au service des Médicis rapporta un manuscrit du «Corpus Hermeticum» disparu dont on sait comment au Moyen Âge, et qu’on n'en connaissait guère que l'«Asclepius» ; Cosme Ier réalisa alors que cette œuvre originelle était bien plus importante en tout points que celle des textes de Platon ; il ordonna à ce même Marsile Ficin d’interrompre ses traductions de Platon pour travailler cette fois-ci sur celles d'Hermès Trismégiste : en 1471, ce dernier édita la première traduction du «Corpus Hermeticum» qui connaîtra un succés sans précédent dans les écoles ésotériques italiennes et occidentales où la magie, l’astrologie, l’alchimie et la Kabbale étaient portés au Panthéon de l’occultisme. Vous devinez bien qu’en cette période, l’Italie devient un centre actif de l’ésotérisme par la diffusion de la Kabbale, de l’astrologie, de la science des nombres et de l’alchimie. Et on s’imagine très mal comment un homme comme Marsile Ficin, qui était très lié à Lorenzo di Pierfrancesco de Médicis ne put influencé de prés ou de loin les œuvres ésotériques de Boticelli et ses contemporains Léonard de Vinci et Holbein, pour ne citer qu'eux !



M. Ficin était convaincu que le texte original du Corpus Hermiticum avait été écrit en EGYPTIEN par le fameux prêtre égyptien à l’origine de toutes les sciences secrètes connu sous le nom grec d’Hermès Trismégiste qui n’est d’autre que le dieu égyptien Thot. Et, il n’est plus nécessaire de prouver à l’heure actuelle que ces propos sont exactes, rendons ainsi la paternité aux prêtres égyptiens ... (extrait du désert des Hespérides)



Vous devinez bien que Léonard de Vinci ainsi que Hans Holbein le Jeune ont voulut divulger un message codé : Je suis le père de cet enfant caché de Mona Lisa, à travers l'histoire d'Isis qui a caché son enfant des griffes de son frère Seth; et à savoir qui est le père de cet enfant, l'histoire appartient aux historiens, révélant à travers mon étude une histoire amoureuse et secrète entre Magdalena Offenburg avec les plus grands artistes de notre temps..Par les légendes, les codes se cachent ainsi des vérités ensevelies dans la folie ingénieuse de ces grands maîtres. Qui est le père de cet enfant ? les signes sont là...



L'étude par transpostion miroir dynamique de Mona Lisa a montré que Léonard de Vinci a dissimulé un enfant secret dont sa bouche correspond mystérieusement au pont d'arrière plan du portrait de Mona Lisa; un pont qui serait celui de Buriano et qui dans le portrait de Mona Lisa est composé de 7 arches contrairement au pont de Buriano constitué de 8 arches !



Pont de Mona Lisa - Visage de l'enfant et détail de la bouche de l'enfant secret



Sonia Tonietti et Stefania Gialli, deux étudiantes d'architecture d'Arezzo, ont découvert que le pont de Buriano est constitué de 8 arches et non de 7, car un des arches fut recouvert par un amas de terre... Cette découverte a été par la suite confirmée par les autorités locales... L'auteur du site suggère de ce fait que le nombre impair d'arches de Mona Lisa est un code phonétique relié au terme "impair" ou encore "au pair qui lui manque"; un homophone du "père qui lui manque". En ce qui me concerne et en contradiction à l'auteur du site, le père qui manque n'est pas le père de Magdalena Offenburg, mais plutôt le père qui manque à cet enfant découvert par effet miroir dans le portrait de Mona Lisa du Louvre et par superposition de l'enfant d'Offenburg et du dessin de Mona Lisa de la collection Hyde !



Vous l'aurez compris, si la vérité sort de la bouche de cet enfant, son message est très clair :



" Je suis l'enfant secret de Mona Lisa et mon père me manque "





Toutes mes études précédentes se rejoignent, s'entrelacent dans une matrice qui prend ainsi la forme de cet enfant caché, le rejeton de Mona Lisa !



Le fait que l'enfant découvert par la technique de la TMD (voir chapitres précédents) soit Horus-Harpocrate, appelé également Horus-le-Jeune, est peut-être une toute autre allégorie devincienne à Holbein le Jeune, Jeune comme Horus et comme Holbein !



Vous l'aurez compris, le père de l'enfant secret de Magdalena Offenburg-Mona Lisa, serait donc Hans Holbein le Jeune !





L'histoire va dans ce sens car elle nous apprend que Hans Holbein le Jeune eut des relations très intimes avec Magdelana Offenburg, lui causant des ennuis avec la justice. Un enfant secret serait alors né de leur amour ! Léonard de Vinci le savait sûrement !



C'est seulement quand vos yeux s'ouvriraient dans la lumière de la science hermétique de Léonard de Vinci, que vous pourriez en comprendre chaque symbole, chaque image, chaque lettre.



Par conséquent Holbein connaissait particulièrement bien Léonard de Vinci et ses œuvres comme en témoigne ce lien exceptionel entre le premier portrait de Mona Lisa et celui de Magdalena Offenburg et de son enfant.



Vous pensez peut-être que ces deux portraits n'ont pas de lien et que toutes mes études sont le fruit de mon imagination farfelue, d'un délire; une perte de temps en soi !



Si c'est le cas, quelle est donc la probabilité pour que toutes mes conclusions, absolument toutes, se rejoignent (voir par exemple le chapitre sur le décryptage du code du monument de Shugbourough ). Vous trouverez dès lors une probabilité trop trop faible pour que tout cela soit le fruit d'un hasard astronomique qui voudrait également que la main droite de Magdalena Offenburg de la peinture intitulée Laïs Corinthiaca (1526) soit positionnée exactement de la même manière que la main gauche du Christ du célèbre tableau de Léonard de Vinci: La Cène (1495-1498) !





Une preuve de plus qui confirme ce lien ésotérique entre les oeuvres de Léonard de Vinci et de Hans Holbein le Jeune...



Et si tout cela était vrai ! Vous seriez dans ce cas les premiers privilégiés à découvrir la vraie identité de Mona Lisa et le visage de cet enfant divin bien mystérieux.....



Léonard de Vinci franc-maçon ?



Si nous revenons à la première version de Mona Lisa de la collection Hyde, nous nous apercevons que la branche tenue par Mona Lisa pourrait ressembler à la la branche d'Acacia !

Pourquoi donc Léonard de Vinci aurait-il dessiner une branche d'Acacia ?



Parce que la branche d'Acacia n'est autre que le symbole de la connaissance maçonnique et montre l'appartenance des Frères à un ordre initiatique !



Mon chapitre consacré à la franc-maçonnerie confirmerait cette incroyable découverte.



Léonard de Vinci franc-maçon ?



Les signes sont là pour prouver cette incroyable révélation :