Chers lecteurs,
Une toute récente découverte sur Mona Lisa réouvre le débat sur les codes devinciens et va extraordinairement vérifier et soutenir mes précédentes études, le fruit de plus de 6 ans de réflexion dont un livre est né, mon premier tome: le désert des Hespérides.
Cette toute nouvelle nouvelle découverte extrêment médiatisé vient de l'héritage culturel national italien qui s'est intéressé au regard de La Joconde après avoir trouvé un livre dans un magasin d'antiquités qui affirmait que ces yeux cachaient de petits symboles, et est persuadé que ces lettres contiennent un message du maître.
En effet selon le responsable de l'institut, Silvano Vincenti : "dans l'oeil droit, on peut voir les lettres LV, qui pourraient très bien être ses initiales. Dans l'oeil gauche il y a également des symboles. Ils sont difficile à décrypter mais ils semblent être la lettre CE or BS" et dernière découverte, et non des moindres, un «72» peints dans un pont à l'arrière-plan du portrait.
Cette étonnante découverte va dans le sens des mes interprétations et va valider mes précédentes idées car ces minuscules letres et chiffres ont un sens profond et je vais vous révéler la vrai définition des symboles découverts au microscope dans les yeux de Mona Lisa et sous ce fameux pont qui comme vous l'avez vu dans mes chapitres pécédents correspond exactement à la bouche de l'enfant divin, horus-harpocrate, fils d'Isis et d'Osiris.
Il est vivement conseillé pour tout nouveau lecteur du blog de lire ou de relire les 20 précédents chapitres de ce blog afin de comprendre la suite. Cela peut vous prendre quelques jours pour vous inititier à l'art devincien.
Ceci dit, utilisons désormais notre table clé gématrique, la Table de la Renaissance (alpha-oméga) ci-dessus dont la table alphabétique a été publiée pour la première fois par l'abbé Jean Trithème dans son premier ouvrage de cryptograhie aux alentours de 1502 (voir la trinité)
Voici un étonnant constat dont je vous laisse le soin d'étudier :
Or, selon la suite 8, 13, 21 de Fibonacci (traduite encore par 8, Mona, Lisa) nous avons l'équation d'or suivante :
Pour reconstituer cette trinité égyptienne, Horus, l'enfant divin se retrouve cette fois-ci mystérieusement caché dans le chiffre 8 et non pas dans le chiffre 5 du triangle isiaque !La TR nous montre quant à elle que la numération 8 est celle de la lettre H qui se trouve être d'une part la première lettre du nom d'Horus et d'autre part l'équivalente latine de la cinquième lettre hébraïque Hé qui a donc une numération de 5 = au nombre isiaque d'Horus !
Horus (triangle isiaque) = 5 = 3+2
Horus (TR) = 32
Nous avons donc la relation suivante :
Or la numération d'Horus est de 32 et pour que l'égalité soit parfaite, il faudrait que H soit égale à 8 et aussi à 32 !
Si cette égalité reste impossible du point de vue algébrique, on peut néanmoins tenter de la résoudre avec notre préciseuse TR pour la rendre plausible gématriquement.
Comment alors résoudre cette énigme ?
Nous savons que le chiffre caché 8 est le chiffre de Fibonacci qui permet de lier le chiffre 13 à celui du chiffre 18. Le chiffre 8 si cher à Léonard de Vinci est par déduction le chiffre qui, à l'image de l'enfant caché Horus, symbolise l'union du haut et du bas, c'est-à-dire le pont, le noeud entre le monde supérieur et le monde inférieur...ce qui m'amène à vous posez une petite devinette : quelle est le seul caractère qui ressemble au 8 et qui porte ses mêmes symboles ésotériques ?
La réponse est l'esperluette "et-per-lui-et" = "et qui par lui-même est un et", ce qu'il faut comprendre : « le symbole qui se lit et et qui signifie et par lui-même », qu'on représentait du vivant de Léonard de Vinci et encore à l'heure actuelle par le logogramme & !
Or, il semble qu'elle ait été considérée comme la dernière lettre de l'alphabet jusqu'au XIXe siècle. Selon le Trésor de la langue française, le &, dernière lettre de l'alphabet, était appelé ète ; or, à l'école élémentaire, on apprenait aux enfants à réciter l'alphabet en ajoutant après « Z » les mots latins «et, per se, et » (« et, en soi, 'et' ») prononcés « ète-per se-ète » , sorte de rime ludique et chantante qui aidait la mémoire. L'usage fit que l'on appela finalement le caractère « & » perluète ou esperluette. (source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Esperluette).
L'esperluette porte ainsi comme son frére jumeau, le 8, les mêmes attributs ésotériques qu'on reconnaîtra également dans celui de l'ouroboros en 8 représenté par le Dragon qui se mord la queue....tout un symbolisme à découvrir dans mon premier tome....
Pour ne pas decevoir l'esperluette, mettons la à sa place d'honneur qui lui revient depuis des siècles, plaçons la à la fin de notre TR :
La numération de "&" est désormais de 24 qui, figurez-vous, est l'autre numération exacte de ET (&) !
Etonnante découverte qui valide une nouvelle fois mon interprétation....
Ceci dit la question principale est de savoir si la lettre H a bien les numérations de 8 et de 32 selon cette nouvelle table gématrique ? Comment y répondre en sachant que la valeur maximale est 24?
Le retour à un nouveau cycle est le concept même de l'Ouroboros, qui se traduit dans notre cas par le retour à la case départ ici frapée de la lettre A : la lettre qui suit l'esperluette ne peut-être alors que la lettre A, suivie de la lettre B, etc. nous renvoyant à une nouvelle table gématrique composée de 2 séries successives de TR comme suit :
On voit que A n'est pas seulement égal à 1 mais aussi à 25 (1+24), quant à B il a des numérations de 2 et de 26 (2+24)... jusqu'à la lettre H qui, par un grand hasard devincien, a des numérations de 8 et de 32 !
On comprendra de ce fait que la vraie table gématrique utilisée par Léonard de Vinci pour crypter son oeuvre est celle que vous avez sous les yeux !
La lettre H est par conséquent et sans nul doute celle d'Horus de numération 32 = 8+ 24 qui peut encore s'écrire :
H& qu'on lira HET, n'est autre que le nom de la huitième lettre hébraïque Hèt, une des guides du désert des Hespérides...
Une démonstration d'une simplicité démoniaque sous l'égide de la trinité égyptienne :
Nous avons vu que la largeur du tableau du portrait de Mona Lisa est précisemment de 18 oncia pour une longueur de 26 oncia, qui, selon la table gématrique ci-dessus, sont miraculeusement les numérations propres des mystérieuses lettres B et S de Rennes-le-Château ! (cf. Le Rebis )
S = 18
H(8) + S (18) = B(26) selon la TR
8 (H) + 13 (Mona) = 21 (Lisa) selon la suite de Fibonacci
21 (Lisa) +5 (Horus) = B (26)
LISA = B (Eau) = ISIS
Des secrets devinciens si longuement détenu par le dieu caché divin des initiés : HORUS - HARPOCRATE.
Ce n'est pas tout !
2,618 - 2 (grand côté du rectangle d'or) = 0,618
Et alors?
Illusion, reflet, miroir, mirage, énigme, mystère, mythe, allégorie...tout est ésotérique, alchimique, hermétique, réservé uniquement aux initiés, à ceux qui survécurent ainsi dans le désert des Héspérides...
Reprenons notre table TR "alpha-oméga" (voir chapitres précédents si nécessaire):
Maintenant regardez-bien la TR.
Quels sont les chiffres associés aux lettres I et S de notre symbole du $ ?
Oui c'est ça: I= 9 et S = 9 ou encore IS ($) = 99 !
99 est le nombre renversé de 66 - "ce qui est en Haut est come ce qui est en Bas"- selon le schéma suivant :
Une relation bien étrange apparaît dés à présent entre la déesse Isis et le chiffre 66 !
Du point de vue algébrique 66 est la somme des 11 premiers chiffres tel que :
Il est également représenté par cette égalité simple:
Or, on retrouve mystérieusement dans cette égalité le nombre 32=HORUS, le nombre 21=LISA et dans le désordre le chiffre 13=MONA ! Un cas remarquable et étrange....
Selon la table gématrique suivante, composée d'une série succéssive de 3 TR, la numération 66 sort de l'ombre la lettre S qu'on reconnaîtra dans la forme du chemin sinueux à l'arrière-plan du portrait de Mona Lisa; celle qui, comme nous l'avons vus, symbolise le Feu divin du dieu Amon-Osiris !
Nous avons également vu que les chiffres 3, 4 et 5 de la trinité égyptienne sont liés au chiffre parfait 6 par cette relation cubique :
Or, ce chiffre parfait, 6, apparaît deux fois dans le nombre 66 qui est la numération de "Mona Lisa Horus": le symbole devincien de la trinité égyptienne Osiris (3), Isis (4) et Horus (5) !
Le chiffre parfait 6 est pour ainsi dire frappé d'un caractère très spécial qu'on appelle l'esperluette et que vous connaissez sous la forme "&" justement de numération 6 selon la TR "alpha-Oméga" !
3³ + 4³ + 5³ = &
Osiris³ + Isis³ + Horus³ = &³
3 = trinité
Un constat étonnant qui valide une fois de plus mes interprétations (cf. La Sainte Trinité)
Or, il existe d'autres points remarquables autour des chiffres 3, 4, 5 et 6 qui sont les suivants:
3456 / 16 = 216
4536 / 21 = 216
Et fait important :
66 = la racine carrée de 4356 !
C'est ainsi que la numération 66 de MONA LISA HORUS correspond à la racine carrée de 4356 qui est le nombre contenant les chiffres divins 3, 4, 5 d'Osiris, d'Isis et d'Horus ainsi que le chiffre 6 dans une relation à la puissance 3, comme la trinité...111 rappellez-vous....
D'ailleurs, ce chemin en S d'Isis ($) dans le portrait de Mona Lisa n'est-il pas contenu dans ma figure TMD dans un carré (racine?) contenant lui-même l'hexagramme d'Horus aux deux triangles isocèles entrelacés aux 6 angles révélateurs de 60° ! Un 6 bien prédominant....
Puis force est de constater que la lettre solaire S a non seulement des numérations de 9 et de 66 selon notre code devincien mais aussi aussi une numération de 666 pour une table gématrique composée d'une série succéssive de 28 TR.
Oui, vous avez bien lu, 666 : le fameux nombre de l'Homme (H) et de la bête (Horus); le mystérieux chiffre de la révélation apocalyptique de St Jean qui, figurez-vous détient un message codifié, ésotérique, magique... dont les clés d'Or sont ensevelies dans le désert des Hespérides et connues seuls des initiés sous le silence divin d'Horus-Harpocrate...
Le chiffre 9 de la lettre S est le dernier nombre avant le retour à l’unité, et les kabbalistes lui attribuent le terme d’oméga : la fin du cycle. Les textes bibliques le considèrent comme la fin de la création divine et pour ainsi dire, il correspond au nombre 666 qui renvoi à l’apocalypse de St Jean de Zébédée. Ce saint déclare dans le verset 18 du chapitre 13 du nouveau testament, le dernier livre de la Bible :
Ce nombre serait celui de l’Intelligence et la révélation de ce qui est caché c'est-à-dire l’apocalypse... Le nombre de la «bête» fait coulé encore beaucoup d’encres, mais le message principal de St Jean est une invitation certain à l’étude des nombres mais également des lettres, car le nombre est bien écrit dans le texte biblique en lettre, en d’autres termes St Jean fairait allusion à la gématrie, à la Kabbale hébraïque et à la cabale en générale....
Le chiffre 666 est également retrouvé dans le carré magique d’ordre 6 (carré 6 x 6 ) que les alchimistes appellent le carré du Soleil : étoile qui est traditionnellement représentée par la lettre S...Sa somme en ligne, en colonne, et en diagonale est constante et égale à 111 (cf. l'étoile d'Horus).
Puis, par magie, la somme du carré magique solaire est de 666 !
Le centre de ce même carré donne 2 fois 37 qui est «le nombre d’homme» (voir mon premier tome)...Il est d'ailleurs remarquable que 666 divisé par 37 donne 18, nombre dans lequel on retrouve 666 en tant que 6+6+6.
Le nombre 108 lui-même est trois fois la somme du nombre 6 porté au carré, révélant ainsi une nouvelle fois le nombre mythique 666 :
Des révélations ensevelies dans le désert des Hespérides...
- un arche
- un 72
- un pont qui correspond à la bouche de l'enfant sacré Horus-Harpocrate
Que voulez-vous donc nous dire, ce cher Léonard de Vinci ?
Horus, le fils d'Osiris et d'Isis est la clef de l'énigme et nous renvoit à l'ancienne égypte, dans les profondeurs du désert des Héspérides. En effet Horus-Harpocrate était le dieu des initiés aux savoirs sacrés et par son doigt posé sur bouche invitait ses initiés à garder ou à codifier leurs secrets. Léonard de Vinci étaient un des initiés franc-maçons (voir chapitres précédents)... En dissumulant un 72 sous un arch et au niveau de la bouche de l'enfant secret Horus-Harpocrate, Léonard de Vinci a très certainement voulut nous dire :
"Le secret de Mona Lisa est son enfant secret dont son père lui manque (voir mon chapitre 18) et ce chiffre 72 que je pose sous l'arche de ce pont qui correspond à sa bouche est le code secret qui vous permettera d'identifier son père si vous êtes comme moi initiés au savoir sacré"
Le père de cet enfant secret ?
Je vous laisse rechercher la réponse, tout est là, lisez, relisez mes chapitres, ce père est...