Tuesday, July 29, 2008

16. MONA LISA & MATHURINE


Je découvris sur ce lien internet un extraordinaire article clef de Hervé Queillé porté sur un mystérieux portrait qu'ils assurent être une des dernières œuvres testamentaires de Léonard de Vinci !

Basé sur les écrits de Léonard de Vinci, les détenteurs de ce compromettant portrait sont certains-et cela aux grands désintéressements des experts- qu'il est celui de la servante de Léonard de Vinci nommée Mathurine ! Il s'avère également que ce mystérieux portrait renferment plusieurs symboles cachés ésotériques, qui à ma plus grande surprise, ont été découvert par un procédé d'effets miroirs qui est, dans son concept basique, similaire à mon procédé de transposition miroir dynamique (voir messages précédents)...

Les propriétaires de ce portrait ont d'ailleurs utilisé ce même procédé sur Mona Lisa dans lequel ils ont retrouvé certains des symboles décrits dans ce blog et publié dans mon premier livre, le désert des Hespérides. Je les félicite ainsi d'avoir entraperçu un des nombreux codes du maître à l'image de leur procédé miroir (voir lien) qui montrent très clairement que le portrait de Mathurine dissimule au centre un héxagramme...Oui, un héxagramme ou encore le sceau de Salomon : celui même que j'ai découvert entre autre dans le portrait de Mona Lisa, qui adopte d'ailleur la même posture que Mathurine !



Ce portrait de Mathurine
est fort probablement de la main affaiblie du grand initié Léonard de Vinci car les portraits de Mathurine et Mona Lisa renferment les mêmes messages ésotériques !

Le portrait de Mathurine est ainsi le dernier indice d'une valeur inestimable qui vérifie et prouve que mes révélations sur Mona Lisa sont exactes.


Chers propriétaires de Mathurine et chers experts, ce portrait est bien l'œuvre testamentaire de Léonard de Vinci.

Ce grand maître - fils probable de Catarina, qui ne serait autre que l'esclave arabe de son père (voir
lien)- est à l'image de l'enfant découvert dans le portrait de Mona Lisa, Horus-Harpocrate : l'enfant caché et le dieu du silence et des initiés.....

Wednesday, July 16, 2008

15. MONA LISA DU MUSEE WALTER

Nous savons par le chapitre 10, intitulé la Franc-maçonnerie, que les deux copies existantes de Mona Lisa aux deux colonnes de la Collection Vernon et du Walter's Art Museum dissimulent les même symboles hermétiques et franc-maçonniques que ceux découvert dans le portrait originel de l'androgyne Mona Lisa. Cependant, un détail important m'avait échappé jusqu'à ce jour. Ce détail est apporté par l'étude aux rayons X de la copie du musée Walter qui révèle que l'auteur probable, Simon Vouet, a peint Mona Lisa sur un ancien portrait renversé de Sainte Véronique portant le Saint Suaire : le voile dans lequel s'est imprégné le visage du Christ !



Pourquoi ainsi reproduire une copie de Mona Lisa aux deux colonnes sur un ancien portrait de Sainte Véronique qui, dans la tradition latine, était celle qui aurait bravé la foule hostile et utilisé le voile qui couvrait sa tête pour essuyer le visage du Christ pendant sa Passion. L'image du visage de Jésus aurait miraculeusement été recueillie sur ce linge qui prit aussi le nom de Saint Suaire (mais n'est pas le Saint-Suaire de Turin) ou Sainte Face.

Exemple de statue de Sainte Véronique et du St Suaire

LE MIROIR est la clef de l'énigme !

En effet il s'avère que l'étude aux rayons X du tableau du peintre français Simon Vouet montre que la face du Christ sur le voile de Sainte Véronique se situe exactement à la gauche du visage de Mona Lisa, exactement là où a été découvert Horus-Harpocrate selon le procédé TMD du portrait devincien de Mona Lisa (voir mes chapitres précédents) !

Ce détail est d'une grande importance, car à l'image de la face miroir du Christ sur le voile de Sainte Véronique, le visage du dieu Horus-Harpocrate est voilé et ne peut-être découvert que par l'effet miroir si cher à Léonard de Vinci...Ceci confirme une nouvelle fois que Jésus-Christ et Horus-Harpocrate portent les mêmes attributs hermétiques, rejoignant ainsi les nombreuses recherches actuelles qui montrent très clairement que les écrits religieux sur la vie du Christ sont des plagiats des écrits égyptiens sur la vie d'Horus, le fils d'Isis et d'Osiris, le dieu des initiés et du silence...