Saturday, December 29, 2007
Saturday, December 22, 2007
13. D. O.U.O.S.V.A.V.V. M
De l'autre côté de la Manche, dans le comté de Staffordshire en Angleterre, au fond des jardins de Shugborough Hall de la Famille Anson demeure un célèbre monument sculpté, les "bergers d'Arcadie de Shugborough", appelé ainsi car il est une copie de la deuxième version du fameux tableau, les bergers d'Arcadie, peint par l'un des guides du désert des Hespérides, le Master Nicolas Poussin...
La scène en relief est étrangement inversée telle une image qui se reflète sur son miroir...le miroir, obsession universelle des plus grands artistes et artisans où les symbolismes, tels des mirages dans le désert des Hespérides, sont à découvrir par mon procédé TMD...
La gravure diffère de l'original par la disparition du paysage de l'arrière-plan du tableau et avec un tombeau qui se métamorphose en un beau cercueil posé sur un promontoire pyramidal; les positions des personnages, des mains, et l'angle des bâtons restent identiques...
Ce monument intrigue depuis des années de nombreux chercheurs car il a la particularité de posséder une curieuse inscription, qui tourmente les esprits depuis plus de 250 ans, qui est composée de 10 lettres suivantes : D. O.U.O.S.V.A.V.V. M !
En dehors des nombreuses légendes sur le St Graal, deux thèses ont été jusqu’à maintenant retenues. La première s'attache à un passage poétique composé de 8 mots latins dont leurs initiales correspondent exactement aux 8 lettres de l'inscription O.U.O.S.V.A.V.V:
Optima Uxoris Optima Sororis Viduus Amantissimus Vovit Virtutibus
Ce message qui aurait été écrit par George Anson ne tient cependant pas compte des deux lettres décalées D et M !
La seconde hypothèse est quant à elle suggérée par un américain anonyme spécialisé en cryptographie qui déclare, sans avoir dévoiler sa technique miracle, que le message secret est :
JESUS H DEFY
Ce message prophétique provient d'une clé de décryptage 1223 qu'il aurait retrouvé dissimulé dans le monument...
Clé 1223
Ceci-dit j'avais comme un goût d'inachevé pour une raison que j'ignorai....1223 me disait quelque chose...322, 1... 1...322, 322....OUI, bien sûr, 322, ce chiffre m'ai revenu soudainement à l'esprit associé à une image, et non des moindres, car il s'agit de l'emblème d'un des ordres occultes les plus puissants : le trés médiatisée et obscure Ordre politico-financier, le Skull and Bones appellé également "Chapter 322", "la Fraternité de la Mort" !
Ce puissant Ordre Mondial porte énigmatiquement l'emblème de la tête de mort aux deux ossements en X frappé de ce fameux chiffre 322 que certains pensent être la date de la mort de Démosthène (orateur et politicien grec...) ou encore d'Adam Weishaupt (au 322ème jour de l'année) et que d'autres renvoient au 322ème chapitre des Illuminés de Bavière...
Pour ma part le chiffre 322 est fort probablement le code de la trinité égyptienne composé par le chiffre 32 d'Horus et par le nombre 2 = 1 + 1 désignant de ce fait les deux piliers (1 + 1) symboles d'Osiris et d'Isis : en résumé, le code 32 pour Horus, le code 1 pour Isis et le code 1 pour Osiris !
Les deux os disposés ici en X sont certainement une allusion à la lettre X qui selon la précieuse TR (non pas la TR "alpha-oméga") porte admirablement la numération 21 de LISA !
X = 21 selon la TR
LISA = 21 selon la TR "alpha-oméga"
LISA = 21 selon la TR "alpha-oméga"
Nous sommes dans la bonne voie et pour reconstituer la trinité, le Crâne situé au dessus des ossements en X doit de ce fait être relié à la valeur 13 de MONA !
Est-ce alors possible dans notre cas?
La réponse est OUI !
Ceux qui ont fait le voyage dans le désert des Hespérides vous diront que derrière ce KRâNe, ce KRowN, KouRonne, etc... se cachent les lettres consonantiques K, R et N dont la numération est exactement de 13 selon la TR "alpha-Oméga" !
K(1) + R(8) + N(4) = 13 = MONA
Une étonnante découverte qu'on peut résumer par le schéma suivant révélant une nouvelle fois le code secret MONA LISA, 1321, 322, et tout le merveilleux de l'ésotérisme, des reflets, des mystères, des secrets...
Oui, mais ce n'est pas tout ! Il s'avère que ce code 322 cache un tout autre secret impensable! Pour le découvrir ensemble, associons dans un premier temps les 8 numérations consécutives des 8 lettres du code MONALISA aux trois nombres obscures 3, 2 et 2 de l'Ordre "Skull and Bones" suivant le tableau suivant :
La somme de ces 11 chiffres étant bien égale à 41 en insérant dans ce code la clé 322 du puissant et obscure ordre américain "Skull and Bones" !
Pourquoi ce nombre 41 et pas un autre me direz-vous ?
On sait que le Grand Master Léonard de Vinci appella Mona Lisa La Gioconda et vous en doutez bien, elle a été appellée ainsi car ce nom répond à un calcul minutieux gématrique étonnant car toujours selon notre précieuse TR "Alpha-Oméga", la numération des dix lettres de LA GIOCONDA est exactement de 41 !
A ce stade de l'étude gématrique, apparaît un mot clé étonnant composée de 10 lettres, LA GIOCONDA (l'autre nom de MONA LISA), qui est de même numération 41 que MONALISA322 !
Selon la Kabbale : les nombre 41 est la numération hébraïques du mot "Em" (Aleph + Mem = 1 + 40) qu'on traduit par MERE....Serait-ce d'ISIS : la mère supérieure ? Dans ce cas, et si... la clé de décryptage des "bergers d'Arcadie de Shugborough" était LA GIOCONDA, l'autre nom de Mona Lisa ?
Si cela s'avère le cas, quel technique de cryptage utiliser alors ?
On sait que le carré de Blaise de Vigénère (1523-1596) fut l'outil de décryptage clé pour décoder l'obscure parchemin retrouvé selon la légende par l'abbé Saunière...Mais on sait également que Vigénère s'est inspiré du carré visionnaire de Trithème, celui même qui publia notre fameuse table gématrique de la Renaissance : la TR !
C'est un bon début, utilisons désormais le carré de Vigénère et développons ensemble cette idée des dix lettres de LA GIOCONDA pour décrypter les 10 lettres D. O.U.O.S.V.A.V.V. M de ce merveilleux monument !
Par le programme java-script du carré de Vigénère que vous trouverez sur ce lien, écrivez désormais dans la zone "en clair" les 10 lettres accolées DOUOSVAVVM,dans la zone "clef" les 10 lettres accolées LAGIOCONDA. Ensuite, cliquez sur le bouton "Chiffrez".
La Clef : LA GIOCONDA
Vous obtenez le message décrypté suivant :
OOAWG XOIYM
Un message sans sens apparent à moins que si on restructure cette fois-ci ce message comme suit:
AXIOM OOWGY
Axiom étant le terme anglais pour désigner l'Axiome, qui vient du grec αξιωμα (axioma) et qui signifie "qui est considéré comme digne ou convenable" ou "qui est considéré comme évident en soi". Pour certains philosophes grecs de l'antiquité cela représentait une affirmation qu'ils considéraient comme évidente et qui n'avait nul besoin de preuve. Le mot vient de αξιοειν (axioein), signifiant considérer comme digne, lui-même dérivé de αξιος (axios), signifiant digne (source http://fr.wikipedia.org/wiki/Axiome).
En plus clair, le message serait du type :
Est considéré comme évident en soi (Axiom) : OOWGY !
Ou encore :
OOWGY est l'évidence en soi !
Cependant OOWGY n'a aucun sens à moins que l'évidence est de considérer cette fois-ci OOWGY comme le code à décrypter en utilisant la même clef : LA GIOCONDA.
Lançons-nous alors dans un deuxième décryptage en utilisant le mot clé LA GIOCONDA avec le code axiome OOWGY.
Le programme lancé avec ces deux éléments à la main, on voit le mot ZOCOM apparaître et qui n'a également aucun sens. Recommençons une troisième fois avec la même clé mais cette fois-ci avec le code ZOCOM. Nous lisons cette fois-ci KOIWA, qui n'a également sans aucun sens apparent. Répétons de ce fait la démarche jusqu'au moment où un mot familier composé de 5 lettres se révèle à nous !
Vous lirez successivement ces mots :
- OOWGY
- ZOCOM
- KOIWA
- VOOEO
- GOUMC
- ROUAQ
- COGCE
- NOMKS
- YOSSG
10. JOYAU
Oui, vous avez bien lu JOYAU !
Recommencez l'opération avec un autre programme si vous le voulez ou même manuellement, ce mot reviendra toujours à la dixième position : dix comme le nombre de lettres composant l'inscription du monument, 10 comme le "DIX" de numération 34 = MONA LISA, dix, le X, tout un symbole, 10 comme le nombre de Séphiroths (sans tenir compte de la Séphirah invisible Daat de l'enfant divin Horus..) de l'Arbre de Vie : une des clés du désert des Hespérides...
Nous voici donc nez à nez avec un JOYAU qui nous renvoie à l'idée d'un objet fait de matières précieuses, de ce qui est beau et d'une grande valeur ou encore à ce qu'il y a de plus remarquable dans son genre !
Pourquoi donc un JOYAU ?
Avant de répondre à cette question, je voudrais signaler que les lettres décalées D et M du monument sont sans aucun doute à relier aux deux colonnes découvertes dans le tableau de Mona et que nous avons reconnus comme les symboles des deux divinités Amon-Osiris et Isis de numération respective 3 (M) et 4 (D) selon la configuration du triangle isiaque (voir étude sur Mona Lisa) !
Puis, fait étonnant, 3 et 4 sont exactement les numérations de M=3 et D=4 selon la précieuse TR "alpha-oméga" de notre abbé Trithème !
La figure suivante résume ce constat :
M=3 = OSIRIS-AMON
D = 4 = ISIS
D = 4 = ISIS
Par simple déduction et selon ma précédente étude sur Mona Lisa, ces 8 lettres "O U O S V A V V'' comprises entre les lettres D et M sont certainement un tout autre code propre à l'hexagramme central du dieu des initiés et du Silence, Horus, confirmant et validant mon interpréation sur la numération 8 de la lettre H...
Loin de tout hasard, je rapproche par conséquent ce code à 10 lettres (LA GIOCONDA) à ma géométrie découverte sur le portrait de Mona Lisa qui n'est autre que le symbole originel de la Franc-maçonnerie ! (cf. Franc- Maçonnerie)
Pourquoi justement ces 8 lettres ?
La réponse est apportée par l'excellente étude de Shannon Dorey qui va dans le sens des mes interprétations sur ces symboles hermétiques repris par la Franc-maçonnerie....
Nous voici donc avec un code agile, digne des plus grandes sciences acrobatiques à l'Apulée, et d'une richesse ésotérique étonnante dont les clés sont préservées entre autre dans le portrait de La Gioconda de Léonard de Vinci et dans les Bergers d'Arcadie de Nicolas Poussin.
Une exceptionnelle découverte qui révèle un unique message composé finalement de deux mots ésotériquement trés parlant :
AXIOM JOYAU
Axiom est écrit ici en anglais tandis que le Joyau est écrit en français !
Le message ci-dessus décodé par la clé "La Gioconda" est de ce fait :
"Le digne Joyau" ou encore "l'évidence en soi du Joyau"
S'agirait-il d'une allusion au légendaire St Graal, le digne Joyau ?
Ou est-ce une dédicace au joyau de l'art hermétique devincien qu'est Mona Lisa, La Gioconda et dont vous connaissez désormais une partie de ses secrets ?
Ceci dit, l'unique axiome cité dans mon livre - et cela sans avoir eu connaissance de cette découverte - est la Table d'Emeraude d'Hermès Trismégiste que j'ai relié au joyau précieux, l'AZOTh ou encore la Pierre Philosophale qui n'est autre que le Graal des Philosophes, retrouvée par exemple sur la tombe de l'abbé Boudet, ici et là...ou encore préservée même dans le nom de Mona Lisa que je n'ai pas divulgué dans mon site et que je vous laisse le plaisir de découvrir dans votre nouveau voyage initiatique dans le désert des Hespérides...
C'est ainsi qu'à l'aide de la précieuse clé de LA GIOCONDA, nous découvrons que le probable message des dix lettres de l'inscription des "bergers d'Arcadie de Shugborough" se rapporte à la Pierre Philosophale, le joyau précieux, et à l'Axiome hermétique , la Table d'Emeraude d'Hermès Trismégiste : une évidence en soi !
LA PIERRE PHILOSOPHALE : LE JOYAU (X) LA TABLE D'EMERAUDE : l'AXIOME
"Paroles des arcanes d’Hermès - Il est vrai, sans mensonge, certain, et très véritable que ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut comme ce qui est en bas : pour l’accomplissement des merveilles de la chose unique. Et de même que toutes choses se sont faites d’un seul, par la médiation d’un seul, ainsi toutes choses sont nées de cette même unique chose, par adaptation. Le Soleil est son père, la Lune est sa mère ; le Vent l’a porté dans son ventre et la Terre est sa nourrice. C’est le père de l’universel télesme du monde entier. Sa puissance est entière quand elle est métamorphosée en terre. Tu sépareras la terre du feu, le subtil de l’épais, avec délicatesse et une extrême prudence. Il monte de la terre au ciel, et derechef il descend en terre, et reçoit la force des choses d’en haut et d’en bas. Ainsi tu auras la gloire de l’univers entier, par là toute obscurité s’enfuira de toi. Là réside la force forte de toute force qui vaincra toute chose subtile, et pénétrera toute chose solide. Ainsi le monde a été créé. De là proviendront des adaptations merveilleuses dont le mode est ici. C’est pourquoi je fus appelé Hermès Trismégiste, possédant les trois parties de la philosophie de l’univers entier. Ce que j’ai dit est complet sur l'opération du Soleil." (Table d'Emeraude d'Hermès Trismégiste)
LA TABLE D'EMERAUDE est l'axiome hermétique des Sages
nécessaire à la quête de la PIERRE PHILOSOPHALE
nécessaire à la quête de la PIERRE PHILOSOPHALE
Une quête incroyablement difficile et d'une simplicité enfantine et démoniaque à l'image des numérations des mots AXIOM, JOYAU et LISA qui sont EXACTEMENT EGAUX à 21 selon la TR "alpha-oméga" !
Je vous invite désormais à étudier mon schéma suivant qui vaut mieux qu'un très long discours...
Quant à la probabilité de telles coïncidences, elle est trop grande pour considérer mon interprétation et tous ces incroyables codes des initiés comme les fruits d'un hasard...Nous voici donc avec des démonstrations géométriques, gématriques...exceptionnelles qui lient une nouvelle fois le Joyau, l'Axiome à la trinité égyptienne si ingénieusement dissimulée dans le portrait de l'androgyne Mona Lisa, la Gioconda qui est toute à la fois la clé de l'énigme, le Rebis, l'autre Joyau, l'axiome par excellence (cf. Rebis), la Pierre Philosophale, le Graal : le sommum de l'art hermétique de Léonard de Vinci..
12. LA FLEUR DE VIE
Nous allons désormais découvrir une toute autre géométrie sacrée dissimulée dans la figure TMD du portrait de Mona Lisa. Cette géométrie contient deux hexagrammes construits par un assemblage de 13 cercles (de 13 oncia de diamètres) selon le schéma suivant :
Or, ces 13 cercles de la figure TMD ci-dessus constituent depuis la nuit des temps l'emblème géométrique du Fruit de Vie, qui est le symbole de la source sacrée de tout ce qui existe et le symbole secret contenu dans la géométrie sacrée de la Fleur de Vie que voici :
Le Fruit de Vie contient par conséquent une configuration unique composée de 13 systèmes d'accès au macrocosme (univers) et au microcosme (humain) et c'est par exemple à partir du premier système qu'il est possible de créer n’importe quelle structure moléculaire et la structure de n’importe quelle cellule vivante présente dans l’univers.
Or, ces 13 cercles de la figure TMD ci-dessus constituent depuis la nuit des temps l'emblème géométrique du Fruit de Vie, qui est le symbole de la source sacrée de tout ce qui existe et le symbole secret contenu dans la géométrie sacrée de la Fleur de Vie que voici :
Fleur de Vie
On retrouve la "Fleur de Vie" dans les religions principales du monde. En Egypte, source de toutes les religions monothéistes, la "Fleur de Vie" se retrouve dans l’ancien Temple d’Abydos dédié à Osiris. En Israël, on la retrouve dans les synagogues anciennes de Galilée et Mesada. La "Fleur de Vie" comporte les caractéristiques de la création telles qu’elles étaient en émergeant du "Grand Vide". Tout provient de la pensée du Créateur.
Le Fruit de Vie contient par conséquent une configuration unique composée de 13 systèmes d'accès au macrocosme (univers) et au microcosme (humain) et c'est par exemple à partir du premier système qu'il est possible de créer n’importe quelle structure moléculaire et la structure de n’importe quelle cellule vivante présente dans l’univers.
En reliant les centres des 13 cercles ensemble, on obtient le motif suivant connu sous le nom de Cube Metatron. A l’intérieur du cube Métatron, on retrouve les 5 formes tridimensionnelles des Solides Platoniques. Ces cinq formes et toutes leurs combinaisons recréent toutes les structures possibles de l’univers, comme la division de la cellule embryonnaire des créatures vivantes...
Metatron est également l'autre nom du plus grand des archanges. Celui qui occupe le trône à coté de celui de Dieu. Pour les mystiques juifs, il est à la tête du choeur des anges les plus puissants, bien qu'il ne soit pas mentionné dans les écritures. Toutes les traductions de son nom n'ont jamais été satisfaitsantes. La plus répendue est : "Celui qui occupe le trône à coté de celui de Dieu". Son nom pourrait également signifier en latin : "Metator", c'est-à-dire "Le Guide" qui soit dit en passant se dit en amazight Amanar (voir mon premier livre) que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de la constellation d'ORION : le guide phare des architectes du plateau de Gizeh plus connue par l'Egypte sous le nom de la constellation d'Osiris... (voir rubrique la géométrie du Graal)
Dans un certain nombre de sources traditionnelles, il est dit que Metatron est en fait le prophète Enoch qui fut emmené au Paradis pour être transformé en un ange de feu avec 36 pairs d'ailes et un nombre incalculabre d'yeux. Il y poursuivrait son existence en tant que scribe céleste. Metatron a aussi été identifié comme étant l'ange de la Libération et celui qui lutta contre Jacob, celui qui arrêta le bras d'Abraham pour l'empêcher de sacrifier son fils Isaac, et finalement celui qui conduit pendant 40 ans l'exode des hebreux . Dans certaines écoles de mysticismes, il est dit que Metatron est le plus grand en taille de tous les habitants du ciel. Il a la charge de la nourriture de l'humanité et il est connu pour être le lien entre les humains, et dieu...
Selon la gématrie hébraïque, l'archange Metatron a une numération de 314, c’est-à-dire la valeur rapprochée de π multipliée par 100 : «π est précisément le rapport des forces qui rend possible la délimitation dans le monde physique, délimitation qui existe au niveau métaphysique», écrivit Léon Ashkénazi, kabbaliste contemporain de grand nom. C’est ainsi que Metatron est le Dieu tout puissant : il est le signe de force, de pouvoir, et du trône...(extrait du désert des Hespérides)
Le nom de l'ange Metatron de la première Séphirah Kether et le nom de Chaddaï de la neuvième Séphirah Yésod ont donc la même numération de 314; ainsi, le premier est pris comme symbole de l'autre. Le plus surprenant est que l'ange Metatron est considéré comme étant celui qui a conduit les enfants d'Israël au travers du désert, d'où Dieu dit: «Mon nom est en lui». On vient à l’histoire de l’exode des juifs où les écrits de l’Exode racontent que c’est à seulement au prophète Moïse ou encore Mosheh - épelé Mem(40) Shin(300) Hé(5)- dont la numération du nom est 345, fut révélé par Dieu son plus Grand Nom, de numération 543, et ce nom est Ehyéh Asher Ehyéh. Plus de treize versions françaises se livrent sur le nom révélé à un festival de lapalissades surréalistes ou existentielles : « Je suis celui qui suis » (Crampon, Jérusalem, Scofield); « Je suis qui je suis » (Ostervald, Darby, Maredsous); « Je suis celui qui dit » (Osty, Dhorme); « Je suis celui qui dit/ Je suis » (Synodale), « Je suis celui qui est » (Segond); « Je me révélerai être ce que je me révélerai être » (Monde Nouveau); « Je suis qui je serai » (TOB); « Je suis l’Etre invariable » (Kahn). Le plus important est que la séquence 543/345 est un palindrome dans lequel Moïse (345) émerge comme «reflet miroir» de Dieu (543). C’est pour cette raison que ce dernier dit au premier «Vois, j’ai fait de toi un Dieu». Moïse est reconnu comme être le premier initié à la loi orale de la Kabbale et aux lois écrites de la Torah au Mont Sinaï. On retrouve dans les noms du prophète MoSheh et du Mont Sinaï du dieu El Chaddaï les deux lettres consonantiques MS qui signifient dans les langues égyptienne et kamitique enfanter, naître, sauver, tandis que le verbe hébreu Mâschah évoque l’action de tirer, d’extraire...(extrait du désert des Hespérides).
Mona Lisa n'aurait-elle pas également enfanter et sauver (MS) le dieu Horus-Harpocrate des griffes de Seth dans un lieu sacré célèbre dénommé akh-bi.t : « le fourré de l’abeille » ? La déesse Isis s’était réfugiée là, après le meurtre d’Osiris (Horus le Vieux), pour y élever son fils Horus (le Jeune) à l’abri de Seth…L’abeille incarne ainsi la reine Isis, la reine des morts, celle qui a le pouvoir de la résurrection (voir le carré de Dürer).
Nous avons également vu dans l'étude de Mona Lisa que la numération 345 contient extraordinairement les nombres divins 3, 4 et 5 de la trinité égyptienne composée par les divinités Isis, Osiris et Horus selon le fameux modèle égyptien du triangle isiaque. Des divines proportions que l'on retrouve également dans les dimesions du tableau ou encore dans le positionnement du point central de gravité de toutes les géométries de la figure TMD du portrait de Mona Lisa (voir rubrique La Sainte Trinité) !
Toutes ces évidences me permettent d'avancer l'hypothèse que Léonard de Vinci peignit le portrait de Mona Lisa selon le modèle géométrique de la Fleur de Vie dans lequel émergent les diverses géométries sacrées rencontrées dans mes études sur Mona Lisa (carré, triangle, cercle, spirale, hexagramme, etc..).
Cet extraordinaire modèle géométrique, que je vous laisse le soin d'étudier, est le suivant :
Cette géométrie primordiale de la Fleur de Vie resurgit d'ailleurs énigmatiquement dans les carnets de Léonard de Vinci, que le Grand Master a ingénieusement associé aux hexagrammes, ceux même qui réapparaissent dans ma figure TMD de Mona Lisa : un indice de plus qui va dans le sens de mes interprétations...
Metatron est également l'autre nom du plus grand des archanges. Celui qui occupe le trône à coté de celui de Dieu. Pour les mystiques juifs, il est à la tête du choeur des anges les plus puissants, bien qu'il ne soit pas mentionné dans les écritures. Toutes les traductions de son nom n'ont jamais été satisfaitsantes. La plus répendue est : "Celui qui occupe le trône à coté de celui de Dieu". Son nom pourrait également signifier en latin : "Metator", c'est-à-dire "Le Guide" qui soit dit en passant se dit en amazight Amanar (voir mon premier livre) que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de la constellation d'ORION : le guide phare des architectes du plateau de Gizeh plus connue par l'Egypte sous le nom de la constellation d'Osiris... (voir rubrique la géométrie du Graal)
Dans un certain nombre de sources traditionnelles, il est dit que Metatron est en fait le prophète Enoch qui fut emmené au Paradis pour être transformé en un ange de feu avec 36 pairs d'ailes et un nombre incalculabre d'yeux. Il y poursuivrait son existence en tant que scribe céleste. Metatron a aussi été identifié comme étant l'ange de la Libération et celui qui lutta contre Jacob, celui qui arrêta le bras d'Abraham pour l'empêcher de sacrifier son fils Isaac, et finalement celui qui conduit pendant 40 ans l'exode des hebreux . Dans certaines écoles de mysticismes, il est dit que Metatron est le plus grand en taille de tous les habitants du ciel. Il a la charge de la nourriture de l'humanité et il est connu pour être le lien entre les humains, et dieu...
METATRON = 314 = π x 100
Selon la gématrie hébraïque, l'archange Metatron a une numération de 314, c’est-à-dire la valeur rapprochée de π multipliée par 100 : «π est précisément le rapport des forces qui rend possible la délimitation dans le monde physique, délimitation qui existe au niveau métaphysique», écrivit Léon Ashkénazi, kabbaliste contemporain de grand nom. C’est ainsi que Metatron est le Dieu tout puissant : il est le signe de force, de pouvoir, et du trône...(extrait du désert des Hespérides)
Le nom de l'ange Metatron de la première Séphirah Kether et le nom de Chaddaï de la neuvième Séphirah Yésod ont donc la même numération de 314; ainsi, le premier est pris comme symbole de l'autre. Le plus surprenant est que l'ange Metatron est considéré comme étant celui qui a conduit les enfants d'Israël au travers du désert, d'où Dieu dit: «Mon nom est en lui». On vient à l’histoire de l’exode des juifs où les écrits de l’Exode racontent que c’est à seulement au prophète Moïse ou encore Mosheh - épelé Mem(40) Shin(300) Hé(5)- dont la numération du nom est 345, fut révélé par Dieu son plus Grand Nom, de numération 543, et ce nom est Ehyéh Asher Ehyéh. Plus de treize versions françaises se livrent sur le nom révélé à un festival de lapalissades surréalistes ou existentielles : « Je suis celui qui suis » (Crampon, Jérusalem, Scofield); « Je suis qui je suis » (Ostervald, Darby, Maredsous); « Je suis celui qui dit » (Osty, Dhorme); « Je suis celui qui dit/ Je suis » (Synodale), « Je suis celui qui est » (Segond); « Je me révélerai être ce que je me révélerai être » (Monde Nouveau); « Je suis qui je serai » (TOB); « Je suis l’Etre invariable » (Kahn). Le plus important est que la séquence 543/345 est un palindrome dans lequel Moïse (345) émerge comme «reflet miroir» de Dieu (543). C’est pour cette raison que ce dernier dit au premier «Vois, j’ai fait de toi un Dieu». Moïse est reconnu comme être le premier initié à la loi orale de la Kabbale et aux lois écrites de la Torah au Mont Sinaï. On retrouve dans les noms du prophète MoSheh et du Mont Sinaï du dieu El Chaddaï les deux lettres consonantiques MS qui signifient dans les langues égyptienne et kamitique enfanter, naître, sauver, tandis que le verbe hébreu Mâschah évoque l’action de tirer, d’extraire...(extrait du désert des Hespérides).
Mona Lisa n'aurait-elle pas également enfanter et sauver (MS) le dieu Horus-Harpocrate des griffes de Seth dans un lieu sacré célèbre dénommé akh-bi.t : « le fourré de l’abeille » ? La déesse Isis s’était réfugiée là, après le meurtre d’Osiris (Horus le Vieux), pour y élever son fils Horus (le Jeune) à l’abri de Seth…L’abeille incarne ainsi la reine Isis, la reine des morts, celle qui a le pouvoir de la résurrection (voir le carré de Dürer).
Nous avons également vu dans l'étude de Mona Lisa que la numération 345 contient extraordinairement les nombres divins 3, 4 et 5 de la trinité égyptienne composée par les divinités Isis, Osiris et Horus selon le fameux modèle égyptien du triangle isiaque. Des divines proportions que l'on retrouve également dans les dimesions du tableau ou encore dans le positionnement du point central de gravité de toutes les géométries de la figure TMD du portrait de Mona Lisa (voir rubrique La Sainte Trinité) !
Toutes ces évidences me permettent d'avancer l'hypothèse que Léonard de Vinci peignit le portrait de Mona Lisa selon le modèle géométrique de la Fleur de Vie dans lequel émergent les diverses géométries sacrées rencontrées dans mes études sur Mona Lisa (carré, triangle, cercle, spirale, hexagramme, etc..).
Cet extraordinaire modèle géométrique, que je vous laisse le soin d'étudier, est le suivant :
11. LA GEOMETRIE DU GRAAL
L’une des premières figures géométriques de la Pierre Philosophale se trouve dans l’Atalanta Fugiens XXI du célèbre alchimiste Michael Maier (1568-1622), l’un des guides phares de notre étude… L’emblème hermétique, qui apparaît une seule fois dans ses 50 volumes, est le suivant :
Michael Maier eut l’idée d’associer à cet emblème ce mystérieux épigramme : « Du mâle et de la femme fais-toi un cercle unique d’où surgit le carré aux côtés bien égaux. Construis-en un triangle à son tour transformé en sphère toute ronde. La Pierre alors est née. Si ton esprit est lent à saisir ce mystère, comprends l’œuvre du géomètre et tu sauras».En ce qui nous concerne, concentrons-nous uniquement sur les géométries de la figure et laissons de côté pour l’instant tout l’aspect complexe alchimique relié à cet emblème hermétique.
Il est donc remarquable de voir dans un premier temps que l’ombre de la pointe inférieure du compas, celle ingénieusement dessinée sur le cercle contenant la femme et l’homme, a un angle de 60° exactement comme celui des triangles entrelacés d’un hexagramme qui, figurez-vous, apparaît mystérieusement au coin gauche de ce même emblème !
Or, cela ne vous dit rien ? Un hexagramme, l’aspect androgyne symbolisé ici par la femme et l’homme, la quadrature du cercle, la Pierre Philosophale ? Oui, vous y êtes : cette ombre anodine permet de construire ces mêmes hexagrammes retrouvés dans ma figure TMD de Mona Lisa qui, comme nous l’avons vu, est l’androgyne Rebis des alchimistes, la Pierre Philosophale ou encore le Graal par excellence !
Le fait que l’angle supérieur du triangle de l’emblème soit de 45° me permet de tracer le carré AMNO de telle sorte que son centre X coïncide étonnement avec l’équerre en X posée à même le sol sur la figure !
De ce carré, traçons par la suite le triangle isocèle ABC d’angles égaux à 60° et tel que le point B soit le point d’intersection de la droite AM du carré avec le bord inférieur de l’emblème :
Or, si nous accolons cette fois-ci le petit cercle au grand cercle, de telle sorte que son diamètre soit confondu avec la droite AM, il nous est facile de voir que le point B correspond exactement dans notre cas à l’extremité du diamètre de ce petit cercle !
De ce premier triangle isocèle, traçons l’hexagramme suivant :
Dessinons ensuite le carré GHIJ de telle manière qu’il soit la quadrature du cercle contenu dans les deux triangles entrelacés ABC et DFE de l’hexagramme. Puis, plaçons le carré AKFE tel que les points G, H, I et J correspondent aux centres de ses côtés. Traçons enfin un grand cercle, de même rayon que le carré AKFE comme l’indique la figure suivante :
Or, ce grand hexagramme est incliné exactement de la même manière que l’hexagramme dessiné par Maier sur le coin gauche de l’emblème hermétique ! Un indice de plus qui va dans le sens de mon étude…
Dessinons à présent un second hexagramme de telle sorte qu’il soit deux fois plus petit en dimension que le grand hexagramme dans lequel son cercle le contient. Le diamètre du cercle de ce nouveau hexagramme est exactement le même que celui représenté dans l’emblème hermétique !
A ce stade de l’étude, nous voyons que cet emblème hermétique, simple d’apparence, dissimule des géométries riches de symbolismes !
Or, il s’avère que l’écrivain Robert A. diCurciode, auteur du livre intitulé Vermeer’s riddle revealed, (2001) retrouve exactement cette même géométrie dans son étude contreversée des œuvres de l’initié et grand peintre hollandais du XVIIème siècle, Jan Vermeer ! Selon l’auteur (cliquez sur ce lien pour accéder à son site internet), cet emblème géométrique est la géométrie sacrée des Templiers, qu’il appelle la « géométrie du Graal » ! Elle aurait émergée au 13ème siècle de la carte templière de Jérusalem qui repose actuellement à la bibliothèque royale de Hague !
En effet, la « géométrie du Graal » se revèle à nous en inclinant l’ensemble de la géométrie de l’emblème hermétique de Maier jusqu’à ce que les côtés AK et FL du carré soient horizontaux :
Le grand carré de centre X (la demeure ésotérique du Graal) et les deux hexagrammes sont tous deux inclinés de 15° par rapport à l’horizontale comme le montre la géométrie sacrée du Graal suivante :
Si nous associons cette fois-ci « la géométrie du Graal » aux géométries découvertes dans ma figure TMD du portrait de Mona Lisa, nous obtenons les figures suivantes :
Dans ce cas précis, le centre X du grand carré « sacré du Graal », de dimension 28 x 28 oncia, est précisément situé au niveau du cœur de Mona Lisa que l’on a auparavant comparé au cœur d’Osiris, le treizième morceau de l’Egypte situé à Athribis, «la demeure du cœur», qui est par conséquent celle de la demeure ésotérique du Graal !
Reprenons désormais le grand cercle central de centre X contenant l’hexagramme d’Horus, selon ma figure TMD suivante :
Associons ensuite au portrait originel de Mona Lisa le carré du Graal et ce même cercle dans lequel j’ai indiqué par des flèches une énigmatique courbe bleue qui semble épouser l’écharpe drappée sur les épaules de Mona Lisa !
A l’image de la droite du carré peinte par Léonard de Vinci à l’arrière plan du portrait de la Gioconda, le Grand Master voulait certainement attirer notre attention sur cette mystérieuse courbe épousant l’écharpe de Mona Lisa ! Quelle est donc cette géométrie ?Un jour, au cours de mes nombreuses tentatives géométriques pour percer le secret de cette courbe, je découvris avec émerveillement la configuration géométrique suivante qui révèle que cette mystérieuse courbe appartient finalement à une SPIRALE !
En effet, cette spirale, de type logarithmique et en forme de coquille d’escargot, a été construite de telle manière qu’elle soit d’une part centrée sur le point X du cercle et d’autre part qu’elle épouse parfaitement le grand carré dans lequel demeure en son centre le Graal !
Cette coquille spiralée est la Maison des Dieux, à l’image de la création d’Adamn de Michel Angelo, celle qui, dans notre cas, est la maison de la trinité égyptienne : du dieu père Osiris, de la déesse mère Isis et du divin enfant caché Horus qui naquit sous le signe de bonne augure de l’Escargot à la coquille d'or !
La coquille spiralée de Mona Lisa
GRAAL…KRAL…AKRAL… AGHLAL…l’ESCARGOT !
GRAAL…KRAL…AKRAL… AGHLAL…l’ESCARGOT !
Puis, si nous reportons trois fois ce carré du Graal, qui est incliné de 30° par rapport à l’horizontal, nous obtenons un nouveau rectangle de 84 x 28 oncia dont son centre X est représenté par le point vert selon le schéma suivant :
Je vous propose désormais de construire dans le grand rectangle 28 x 84 oncia un tout autre rectangle d’or de dimension 28 oncia sur (28+28√5)/2 oncia pour ainsi créer une toute autre spirale connue sous le nom de spirale d’or ! Pour créer la spirale d’or dans ce rectangle d’or, dont le rapport de sa longueur sur sa largeur est égale au nombre d’or Phi=1.618, il suffit de construire un grand carré de côté égale à la largeur de ce même rectangle d’or. On réitère l’opération dans le rectangle restant qui est un rectangle d’or, et ainsi de suite, puis, on construit des quarts de cercle dans les carrés pour ainsi obtenir la spirale d’or.
La spirale d’or a son sommet, ou encore son apex, qui coïncide au côté droit supérieur du carré du Graal, à l’opposé du point primordial de construction de toutes nos géométries que j’ai situé sur la droite peinte à l’arrière-plan du portrait de Mona Lisa, au dessus de la tête d’Horus-Harpocrate !
Le hasard voudrait également que la diagonale du grand rectangle 28 x 84 oncia contienne les centre Z de la spirale d’or, l’apex du coude de Mona Lisa, le centre Y du cercle de ma figure TMD ainsi que le centre X du carré du Graal dont le côté droit est exactement tangent à la courbe de la spirale d’or ! Ces 3 centres X, Y, Z ainsi que l’apex du coude de Mona Lisa sont de ce fait exactement et admirablement alignés sur la même diagonale du carré du Graal !
Les géométries s’additionnent, fusionnent, se métamorphosent, se mutent d’une forme à une autre selon un savant et incroyable savoir divin devincien !
Pour les chercheurs Robert Bauval et Graham Hancock (cf. « Keeper of Genesis: A Quest for the Hidden Legacy of Mankind », Mandarin, 1997) les trois pyramides de Gizeh, Khéops, Khéphren et Mykérinos, sont les points exacts de projection céleste sur l’Egypte des étoiles d’Alnitak, d’Alnilam et de Mintaka de la fameuse ceinture de la constellation d’Orion que les égyptiens considéraient comme les restes de l’âme d’Osiris, le dieu père de la création et de l’immortalité. Max Toth, l’auteur de « Pyramid Prophecies » (édition Destiny Books) ira jusqu’à montrer quant à lui, que cette incroyable œuvre céleste dédiée à Orion repose sur une construction géométrique à grand échelle: la SPIRALE D’OR ! Cette même spirale d’or que l’on a découvert dans le portrait de Mona Lisa, l’androgyne symbole des dieux Osiris et Isis, et qui cache l’enfant divin Horus !
Puis, si on compare la spirale d’or du portrait de Mona Lisa à celle de la carte géographique orginelle de Max Toth remodifiée ensuite par Rocky McCollum, on s’aperçoit que le centre exact du portrait de Mona Lisa, là où a été découvert la figure TMD du Graal, coïncide avec une précision étonnante aux coordonnées géographiques du Sphinx !
10. LE CARRE DE DÜRER
LEONARD DE VINCI & ALBRECHT DÜRER
Nous voici avec le fameux carré magique d'ordre 4 connu sous le nom de carré magique de Jupiter ou encore de Dürer, car ce célèbre savant contemporain de Léonard de Vinci, a représenté ce mystérieux carré magique dans plusieurs de ses gravures dont Melencolia I. Dans le carré de Dürer, le total de 34 est obtenu de vingt-deux manières différentes selon les quatres rangées horizontales, les quatres colonnes verticales, et les deux diagonales.
Ce carré magique contient aussi une figure en «X» dans laquelle la somme des valeurs portées aux quatres coins sont égaux à 13 (Mona) et à 21 (Lisa), dont la somme est égale à 34, c'est à dire la numération exacte de MONA LISA ! Ce carré magique d'ordre 4 pourrait être l'une des clefs de l’énigme gématrique utilisée secrètement par le grand initié Léonard de Vinci pour dissimuler ses nombreux codes dans le nom de Mona Lisa; et en quelques sorte dédier son oeuvre à son respectueux collègue Albrecht Dürer...
La figure suivante du carré de Dürer schématise les connections de ses séries 1, 2, 3, 4 ; 5, 6, 7, 8; 9, 10, 11, 12 ; 13, 14, 15, 16 qui force est de constater font apparaître de mystérieux hexagones entrelacés que nous retrouvons étonnement dans le Sceau de Salomon de ma figure TMD des 4 portrait de Mona Lisa ! 4 comme le nombre isiaque d'Isis, 4 comme le nombre de lignes et de colonnes du carré de Dürer...
Ce second indice révèle une nouvelle fois un lien inattendu entre le portrait devincien de Mona Lisa et le carré de Dürer !
Le troisième indice m'avait échappé pendant ces 3 années jusqu'au jour où je vis dans ma figure TMD de Mona Lisa deux géométries miroirs l'une de l'autre en forme de chevron que j'indique ci-dessous par des flèches jaunes.
Associons désormais à la figure TMD le carré découvert dans mon étude géométrique :
Ensuite, il s'avère que les deux chevrons ont exactement un angle d'ouverture égale à 90 degrès telle une équerre :
Traçons désormais un plus petit carré AMNO incliné de 45° de telle manière que ses coins coïncident avec les centres de chaques côtés du grand carré jaunes ci-dessous. Puis, prolongons à partir des points X et X' les segments de ces deux chevrons orthogonaux jusqu'à que ceux-ci intersectent les côtés du carré AMNO qui par le plus grand des hasard révèlent deux carrés parfaits symétriques AYXZ et NY'X'Z' inclinés par conséquent de 45°:
Or une répétition des deux petits carrés élémentaires au sein du carré AMNO permet de structurer avec une précision déconcertante un maillage 4 x 4 exactement comme le carré magique d'ordre 4 de Dürer. En d'autres termes, les surfaces et les dimensions des deux carrés inclinés AYXZ et NY'X'Z' sont égaux à 1/16 de la surface et des dimensions du grand carré AMNO comme le montre la figure suivante :
On est désormais nez à nez avec un carré incliné de 45° d'ordre 4 qui s'avère être celui de Dürer dans lequel nous devons par conséquent placer ses chiffres magiques de telle manière que les deux visages miroirs de Horus-Harpocrate coïncident précisément avec ses chiffres divins. Ces chiffres ne peuvent être dans notre cas que 13 et 4 qui figurez-vous sont les numérations exactes de MONA (13) ou encore de son anagramme AMON (13) et du nombre isiaque d'Isis (4) tout en sachant que la réduction théosophique de 13 est 4=1+3 !
Pour obtenir la configuration ci-dessous inclinez tout simplement le carré de Dürer de telle manière que les case contenant les chiffres 13, 16, 4 et 1 coïncident respectivemnt avec les points A, M, O, N du carré incliné qui n'est autre qu'un losange qui, depuis la nuit des temps, demeure être le symbole du sexe féminin, de la fertilité, c'est-à-dire un symbole dédié au culte de la Mère Supérieure : la déesse mère ISIS !
Puis force est de constater que la somme des chiffres positionnés sur les quatres coins du carré incliné AMNO est étonnement de 34, l'autre numération de MONA LISA ?!
Quant à savoir si Mona Lisa est enceinte ou a enfanté, l'étude montre clairement que l'androgyne Mona Lisa dissimule sous le signe de bonne augure du carré de Dürer l'enfant divin Horus : le fruit du mariage royal de son père AMON-Osiris et de sa mère ISIS ...
D'autant plus troublant que ce carré incliné 4x4 réapparaît dans les motifs amazigh-berbères pour représenter l'abeille qui pour les égyptiens étaient le symbole d'ISIS, la reine des morts, celle qui a le pouvoir de la résurrection rejoignant les croyances de la Berbérie de l’Antiquité qui pensait que les abeilles pouvaient naître spontanément d’un animal mort sacrifié à la divinité : croyances que l’on retrouve dans la tradition biblique. Selon les archéologues, le Delta du Nil comportait un lieu sacré célèbre dénommé akh-bi.t : « le fourré de l’abeille » ; la déesse Isis s’était réfugiée là, après le meurtre d’Osiris (Horus le Vieux), pour y élever son fils Horus (le Jeune) à l’abri de Seth…
Si vous pensez toujours au hasard comment expliquez-vous alors que les alvéoles de l'abeille aient des formes en hexagrammes que nous retrouvons admirablement dans la structure du carré de Dürer et dans la figure TMD de Mona Lisa ?
Ce paragraphe apportera une réponse au chapitre précédent porté sur la franc-maçonnerie.
Projetons désormais la figure ci-dessus de la TMD de Mona Lisa (associée au carré de Dürer) aux géométries cachées devinciennes découvertes par le procédé TMD et décrites dans les chapitres précédents.
Nous obtenons la figure suivante :
Distinguons maintenant les 3 côtés supérieurs de l'hexagramme central avec les 3 côtés inférieurs du carré de Dürer dont la pointe se situe exactement à celle du chevron inférieur décrit auparavant de telle manière à obtenir la figure suivante :
On obtient enfin cette figure unique qui possède en son centre l'intriguant symbole de la franc-maçonnerie confirmant une nouvelle fois mon étude !
Nous voici avec le fameux carré magique d'ordre 4 connu sous le nom de carré magique de Jupiter ou encore de Dürer, car ce célèbre savant contemporain de Léonard de Vinci, a représenté ce mystérieux carré magique dans plusieurs de ses gravures dont Melencolia I. Dans le carré de Dürer, le total de 34 est obtenu de vingt-deux manières différentes selon les quatres rangées horizontales, les quatres colonnes verticales, et les deux diagonales.
Ce carré magique contient aussi une figure en «X» dans laquelle la somme des valeurs portées aux quatres coins sont égaux à 13 (Mona) et à 21 (Lisa), dont la somme est égale à 34, c'est à dire la numération exacte de MONA LISA ! Ce carré magique d'ordre 4 pourrait être l'une des clefs de l’énigme gématrique utilisée secrètement par le grand initié Léonard de Vinci pour dissimuler ses nombreux codes dans le nom de Mona Lisa; et en quelques sorte dédier son oeuvre à son respectueux collègue Albrecht Dürer...
La figure suivante du carré de Dürer schématise les connections de ses séries 1, 2, 3, 4 ; 5, 6, 7, 8; 9, 10, 11, 12 ; 13, 14, 15, 16 qui force est de constater font apparaître de mystérieux hexagones entrelacés que nous retrouvons étonnement dans le Sceau de Salomon de ma figure TMD des 4 portrait de Mona Lisa ! 4 comme le nombre isiaque d'Isis, 4 comme le nombre de lignes et de colonnes du carré de Dürer...
Ce second indice révèle une nouvelle fois un lien inattendu entre le portrait devincien de Mona Lisa et le carré de Dürer !
Le troisième indice m'avait échappé pendant ces 3 années jusqu'au jour où je vis dans ma figure TMD de Mona Lisa deux géométries miroirs l'une de l'autre en forme de chevron que j'indique ci-dessous par des flèches jaunes.
Associons désormais à la figure TMD le carré découvert dans mon étude géométrique :
Ensuite, il s'avère que les deux chevrons ont exactement un angle d'ouverture égale à 90 degrès telle une équerre :
Traçons désormais un plus petit carré AMNO incliné de 45° de telle manière que ses coins coïncident avec les centres de chaques côtés du grand carré jaunes ci-dessous. Puis, prolongons à partir des points X et X' les segments de ces deux chevrons orthogonaux jusqu'à que ceux-ci intersectent les côtés du carré AMNO qui par le plus grand des hasard révèlent deux carrés parfaits symétriques AYXZ et NY'X'Z' inclinés par conséquent de 45°:
Or une répétition des deux petits carrés élémentaires au sein du carré AMNO permet de structurer avec une précision déconcertante un maillage 4 x 4 exactement comme le carré magique d'ordre 4 de Dürer. En d'autres termes, les surfaces et les dimensions des deux carrés inclinés AYXZ et NY'X'Z' sont égaux à 1/16 de la surface et des dimensions du grand carré AMNO comme le montre la figure suivante :
On est désormais nez à nez avec un carré incliné de 45° d'ordre 4 qui s'avère être celui de Dürer dans lequel nous devons par conséquent placer ses chiffres magiques de telle manière que les deux visages miroirs de Horus-Harpocrate coïncident précisément avec ses chiffres divins. Ces chiffres ne peuvent être dans notre cas que 13 et 4 qui figurez-vous sont les numérations exactes de MONA (13) ou encore de son anagramme AMON (13) et du nombre isiaque d'Isis (4) tout en sachant que la réduction théosophique de 13 est 4=1+3 !
Pour obtenir la configuration ci-dessous inclinez tout simplement le carré de Dürer de telle manière que les case contenant les chiffres 13, 16, 4 et 1 coïncident respectivemnt avec les points A, M, O, N du carré incliné qui n'est autre qu'un losange qui, depuis la nuit des temps, demeure être le symbole du sexe féminin, de la fertilité, c'est-à-dire un symbole dédié au culte de la Mère Supérieure : la déesse mère ISIS !
Puis force est de constater que la somme des chiffres positionnés sur les quatres coins du carré incliné AMNO est étonnement de 34, l'autre numération de MONA LISA ?!
Quant à savoir si Mona Lisa est enceinte ou a enfanté, l'étude montre clairement que l'androgyne Mona Lisa dissimule sous le signe de bonne augure du carré de Dürer l'enfant divin Horus : le fruit du mariage royal de son père AMON-Osiris et de sa mère ISIS ...
D'autant plus troublant que ce carré incliné 4x4 réapparaît dans les motifs amazigh-berbères pour représenter l'abeille qui pour les égyptiens étaient le symbole d'ISIS, la reine des morts, celle qui a le pouvoir de la résurrection rejoignant les croyances de la Berbérie de l’Antiquité qui pensait que les abeilles pouvaient naître spontanément d’un animal mort sacrifié à la divinité : croyances que l’on retrouve dans la tradition biblique. Selon les archéologues, le Delta du Nil comportait un lieu sacré célèbre dénommé akh-bi.t : « le fourré de l’abeille » ; la déesse Isis s’était réfugiée là, après le meurtre d’Osiris (Horus le Vieux), pour y élever son fils Horus (le Jeune) à l’abri de Seth…
Si vous pensez toujours au hasard comment expliquez-vous alors que les alvéoles de l'abeille aient des formes en hexagrammes que nous retrouvons admirablement dans la structure du carré de Dürer et dans la figure TMD de Mona Lisa ?
Ce paragraphe apportera une réponse au chapitre précédent porté sur la franc-maçonnerie.
Projetons désormais la figure ci-dessus de la TMD de Mona Lisa (associée au carré de Dürer) aux géométries cachées devinciennes découvertes par le procédé TMD et décrites dans les chapitres précédents.
Nous obtenons la figure suivante :
Distinguons maintenant les 3 côtés supérieurs de l'hexagramme central avec les 3 côtés inférieurs du carré de Dürer dont la pointe se situe exactement à celle du chevron inférieur décrit auparavant de telle manière à obtenir la figure suivante :
On obtient enfin cette figure unique qui possède en son centre l'intriguant symbole de la franc-maçonnerie confirmant une nouvelle fois mon étude !
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