Wednesday, December 19, 2007

6. ISIS & HORUS-HARPOCRATE

Iconographie d’Isis et d’Harpocrate

La fresque romane suivante du premier siècle, qui est une iconographie traditionnelle d’Isis avec son fils Harpocrate, reconnaissable à son doigt posé sur sa bouche, est extraordinairement similaire à ma figure de TMD du portrait de Mona Lisa où se cache la figure et l'hexagramme hermétique d'Horus-Harpocrate !

Une extraordinaire découverte qui, une nouvelle fois, confirme que le visage découvert par le procédé TMD du portrait de la Joconde est bien celui de l’enfant dieu Horus-Harpocrate !

A gauche : Portrait d’Isis et de son enfant caché Horus-Harpocrate
A droite : Figure TMD du portrait de Mona Lisa et détail du visage de l'enfant caché Horus-Harpocrate

La fresque romane ci-dessus qui représente Isis tenant des épis de blé est une allusion fort probable à la constellation de la Vierge que les égyptiens rapprochaient à la déesse Isis portant dans ses mains des épis de blé, qu'elle lançait, formant ainsi la Voie Lactée. Dans le monde gréco-romain, Isis devint Cérès, déesse des moissons, ou Coré, fille de Jupiter et de Thémis, déesse de la fécondation à la Terre, et à qui on faisait sacrifice au moment des semailles...

(...) L’enfant divin Horus, que les grecs appelaient Harpocrate, était toujours représenté par le signe de l’index posé sur les lèvres et le geste à lui seul signifiant le dieu-fils d’Isis: un signe de bon augure à l'aube de la vie de Léonard de Vinci. A l'image d'Apulée (personnage phare de mon ouvrage) de Vinci vivait sous le règne d’Isis, la matrice de toute choses, de tout éléments, «la sainte et éternelle protectrice du genre humain», celle qui protège les hommes des assauts de la fortune. (les Métamorphoses, XI, 5,25)

(...) Léonard de Vinci ainsi que Boticelli, Dürer, Raphaël, Michel Angelo, del Cossa, pour ne citer qu’eux, firent ainsi leur voyage en Egypte, en Libye, en Berbérie. Ils apprirent presque tout ce que leur époque connaissait ; ils feuilletèrent les livres anciens, cueillirent les pommes d’or du désert des Hespérides où naquit leur vénérable religion isiaque, source de toutes les autres fois, de toutes les autres sagesses, qui avait laissé PARTOUT SON EMPREINTE. La Rose-Croix, la Franc-maçonnerie, les sociétés occultes européennes, vivaient et survivent encore de cette religion universelle à l’ombre des rites égyptiens que nos humbles abbés de Couiza en étaient les modestes gardiens.

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